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L’Europe de 1945 à nos jours (partie 3 et dernière partie)

  • Histoire

Aborder le thème de l’Europe est vaste, c’est la raison pour laquelle cet article rassemble une approche historique  de trois chapitres : l’Europe de l’Ouest de 1945 à 1989, les démocraties populaires de l’Est de 1945-1989, puis les enjeux européens depuis 1989.

L’ensemble forme donc un tout très complet pour vos révisions mais chaque partie peut aussi être indépendante des autres. Un article déjà rédigé sur l’élargissement européen complétera celui-ci.

 

3. L’Union européenne, une aire de puissance avant tout économique

L’Union européenne n’est pas seulement une juxtaposition d’États ayant abaissé entre eux leurs barrières douanières. Sa cohésion et son poids en matière économique en font l’un des trois grands pôles de la planète. Face au défi de l’élargissement et de la cohésion territoriale, idée incluse dans le traité de Lisbonne, quels sont ses atouts et ses handicaps ?

 

A.) Type d’organisation régionale représentant l’Union européenne
  • Depuis la création de la Communauté économique européenne (CEE) par le traité de Rome en 1957, l’histoire de l’Union européenne (UE) se caractérise par l’intégration régulière de nouveaux États et l’élargissement progressif de ses domaines de compétences.

Le 1er mai 2004, l’Union européenne s’est élargie à dix nouveaux membres et le 1er janvier 2007 à 2 de plus, portant à 28 maintenant le total des pays qui la composent et à 500 millions son nombre d’habitants.

  • Aujourd’hui, l’Union européenne n’est pas un État unique comme les États-Unis, mais c’est bien plus qu’un simple marché commun comme l’ALENA. On a affaire à un pouvoir avec des éléments supranationaux (plus encore depuis 2007). Ainsi, si l’union politique tarde à fonctionner réellement (par exemple déficit démocratique, difficultés à avoir une action unique face à la crise économique, divergences dans les relations internationales) la puissance économique de l’UE est considérable et son poids dans le monde très important.

 

Focus : le traité de Maastricht

Un événement majeur a marqué la construction européenne : le traité de Maastricht, signé en 1992 et entré en vigueur en 1993. Avec lui arrivent approfondissement et élargissement.

a) L’approfondissement : Le traité propose une relance décisive de l’Europe politique avec l’élaboration d’une politique extérieure et de sécurité commune (PESC) ; mais ce volet est un échec : pas d’union face à la question de l’intervention en Irak en 2003, et aujourd’hui la France peine à trouver un appui pour ses soldats intervenant au Sahel dans le cadre de sa lutte contre les Islamistes. Dans le cadre du traité, douze pays de l’UE se dotent d’une monnaie commune, l’euro : celle-ci est adoptée en 1999, mais les pièces et les billets ne commencent à circuler qu’en 2002 (depuis, sept pays ont rejoint les douze membres fondateurs de la zone euro).

Pour mener la politique monétaire commune, les pays membres créent une banque centrale européenne (Francfort). Enfin, par le Pacte de stabilité, ils s’engagent à gérer leurs économies selon des règles communes ( exemple souvent cité en France : le déficit qui ne doit pas excéder 3% du PIB).

Cet approfondissement de la construction européenne a soulevé de fortes réticences : la Grande-Bretagne n’a pas adopté l’euro. En France, il ne faut pas oublier que le traité de Maastricht a failli être repoussé par référendum ; au Danemark, il l’a été et il a fallu faire revoter la population.

 

b) L’élargissement : cette ouverture récente de l’Union européenne aux pays baltes et aux pays d’Europe centrale dès la fin de la Guerre Froide a libéré les pays de l’Est de la tutelle soviétique. Les pays astreints à la neutralité comme la Suède, l’Autriche ou la Finlande peuvent également en sortir désormais. Pour les pays baltes et les pays d’Europe centrale qui ont intégré récemment l’Union européenne, l’organisation régionale représente non seulement des aides pour leurs économies mais surtout un espace de démocratie et de libéralisme économique c’est un signe de rupture avec le passé communiste et la tutelle soviétique ; elle offre aussi une garantie au cas où la Russie redeviendrait agressive. La question ukrainienne a sérieusement remis en lumière ce problème.

De leur côté, les pays déjà membres, comme la France, désirent étendre à l’Europe centrale l’espace de paix et de coopération, mais aussi la zone de libre-échange et le grand marché économique que constitue l’UE : les habitants des nouveaux pays représentent des clients pour les entreprises européennes.

Par ailleurs, les gouvernements de l’Europe occidentale s’inquiètent des dangers de « balkanisation » de l’ancienne Europe communiste. En effet, après l’éclatement de la Yougoslavie en cinq États indépendants en 1991, des conflits ethniques ont déchiré cette région d’Europe entre 1991 et 2000 : c’étaient les premiers conflits armés sur le sol européen depuis 1945. Intégrer l’UE était un moyen d’éviter cette spirale nationaliste. Il n’y a pas eu de conflit : la Tchécoslovaquie s’est scindée en 2 états sans heurt. Mais la paix reste un enjeu crucial en Europe orientale où se pose la question des minorités russes que Moscou veut protéger.

 

B.) Poids économique de l’UE dans le monde

Chaque pays de l’Union européenne est unique, ce qui explique que le produit intérieur brut (PIB) et la croissance démographique, par exemple, puissent être très différents d’un pays à l’autre. En outre, chaque pays applique sa propre stratégie dans des domaines d’action importants, tels que l’éducation.

  •  Superficie et population

L’Union européenne (UE) couvre plus de 4 millions de kilomètres carrés. Elle compte 508 millions d’habitants, ce qui la place au troisième rang mondial, derrière la Chine et l’Inde. La France est le plus vaste pays de l’UE, et Malte le plus petit.

L’Union européenne, prise dans sa globalité, constitue nettement la deuxième puissance économique mondiale.

  • L’Union européenne connaît des succès industriels dans le domaine spatial et aéronautique par exemple avec Ariane Espace, Airbus. De grandes firmes européennes sont implantées dans le monde entier, diffusant leur savoir-faire technologique. Ces succès ne touchent pas tous les domaines et les investissements dans la recherche ne sont pas suffisants pour réduire l’écart avec les États-Unis ou les pays de l’Asie orientale.

La population en européenne augmente en raison de sa croissance naturelle (le nombre de naissances dépasse celui des décès) et de son solde migratoire (le nombre de personnes qui s’installent dans l’Union dépasse celui des départs). Parallèlement, la population européenne vieillit, car l’espérance de vie augmente alors que le nombre de naissances diminue.

  •  Qualité de vie

Les niveaux de vie peuvent être comparés en établissant dans chaque pays le rapport entre le prix d’un ensemble de produits et de services et le revenu moyen. On utilise pour cela une monnaie commune fictive appelée «standard de pouvoir d’achat» (SPA). La comparaison des PIB par habitant mesurés en SPA donne une vue d’ensemble des niveaux de vie dans toute l’Union européenne.

  • Economie

La Commission européenne publie chaque novembre ses estimations des chiffres de la croissance au sein de l’Union européenne pour l’année considérée. Pour l’UE à 28, en 2017, la croissance du PIB réel (PIB mesuré « en volume », c’est-à-dire à prix constants) s’établirait à 2,3%, un chiffre nettement plus élevé que pour l’année 2016 (1,9%). Mais c’est surtout la zone euro qui voit sa croissance accélérer : elle atteindrait en 2017 son plus haut niveau depuis une décennie (2,2%). Retrouvez ci-dessous la carte récapitulative pour l’ensemble des pays membres et les principaux chiffres.

Parmi les 28 Etats membres, 19 auraient enregistré une croissance de plus de 3% du PIB réel en 2017. Le champion de la croissance serait ainsi la Roumanie, avec une progression du PIB de 5,7% par rapport à l’année précédente (soit 1,1 point de plus qu’en 2016), suivie de près par Malte (5,6%). Au-dessus des 4%, on trouverait l’Irlande (4,8%), la Slovénie (4,7%), l’Estonie (4,4%), la République tchèque (4,3%), la Lettonie et la Pologne (4,2%).

Plus loin, la Bulgarie (3,9%), la Lituanie (3,8%), la Hongrie (3,7%), Chypre (3,5%), le Luxembourg (3,4%) la Finlande et la Slovaquie (3,3%), la Croatie, les Pays-Bas et la Suède (3,2%), puis l’Espagne (3,1%) bénéficieraient d’une croissance supérieure à 3%.

Parmi les pays ayant enregistré une croissance supérieure à 2%, on retrouverait ensuite le Portugal et l’Autriche (2,6%), le Danemark (2,3%) et l’Allemagne (2,2%).

Enfin, les cinq derniers pays se voient également crédités d’un taux de croissance plutôt élevé de leur PIB réel, autour de 1,5% : la France et la Grèce (1,6%), l’Italie, le Royaume-Uni et la Belgique (1,5%). On peut notamment souligner la performance de la Grèce qui se trouvait depuis 2008 en récession, et dont la croissance atteignait encore en 2016 un niveau de -0,2%.

 

C.) L’Union européenne à 28 ne souffre-t-elle pas de trop de disparités ?
  • En s’ouvrant à douze nouveaux pays depuis 2004, l’Union européenne doit faire face à un défi considérable car les États entrants sont beaucoup moins riches que les Quinze. Si, avec l’élargissement, la population a augmenté de 20 %, le PIB, lui, a progressé de moins de 5 %.
  • Ce n’est pas la première fois que l’Union européenne intègre des pays moins développés. L’Irlande en 1973, la Grèce en 1981, l’Espagne et le Portugal en 1986 ou l’ex-RDA, qui a intégré l’Europe lors de la réunification allemande en 1990, présentaient des retards économiques certains. Or, une fois intégrés à l’UE, le Portugal, et surtout l’Espagne et l’Irlande ont connu une croissance économique remarquable pendant plusieurs années, ce qui montre que l’UE peut aider les pays à se développer.
  • Mais c’est la première fois qu’un élargissement aussi important est réalisé. La majorité des nouveaux membres (Estonie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Slovénie) connaissent des difficultés liées aux mutations de leur économie après l’effondrement du bloc soviétique.

C’est pourquoi leur intégration et la réduction des écarts sont progressives et posent problème aujourd’hui, d’autant que des pays mieux intégrés connaissent une grande fragilité actuellement.

  • Avec 28 membres, la question de la cohésion de l’Union européenne est posée, ainsi que le leadership : qui a le rôle le plus important? Faut-il quelques pays qui impulsent la donne ou alors que des actes collectifs. Cela est d’autant plus un problème que tous les nouveaux venus n’ont pas forcément la même vision de l’avenir, ni toujours les mêmes valeurs : ainsi la Hongrie prend-t-elle actuellement des décisions légales qui sont en opposition avec les principes de l’UE, mais il n’y a pas de réaction efficace.
D.) Pôles et les périphéries de l’Union européenne ?

Les deux principaux pôles de puissance économique de l’Union européenne sont Londres et Paris. Les deux capitales font partie de l’archipel mégapolitain mondial, ensemble constitué des plus grandes métropoles mondiales, reliées en réseau, et concentrant les pouvoirs économiques dans le monde. Elles dominent largement toutes les autres villes européennes non seulement du point de vue démographique mais aussi sur le plan politique et dans les différents domaines de la finance, de la recherche et de la culture.

  • Plusieurs villes constituent des pôles secondaires au niveau mondial, mais jouent un rôle réel au sein du territoire européen : Madrid, Barcelone, Lisbonne, Milan, Rome, Berlin, Vienne, Munich, Amsterdam ou Stockholm. Au delà, des villes au rôle régional actif apparaissent, telles Athènes, Copenhague, Oslo, Dublin, Lyon ou Hambourg.
  • Finalement, l’espace européen présente une structure multipolaire assez équilibrée : les deux grands pôles, Londres et Paris, sont relayés par une quinzaine de villes distribuées sur le reste du territoire.

Toutes ces grandes villes constituent les nœuds de puissants réseaux de circulation et d’échanges articulés autour de plateformes multimodales.

  • Les régions en difficulté peuvent être classées en trois catégories :

– dans la première catégorie, on trouve les anciennes régions industrielles qui connaissent des difficultés de restructuration ; par exemple, le Nord et la Lorraine en France, le sillon Sambre-Meuse, la Ruhr, le pays de Galles ou le nord de l’Angleterre ;

– la deuxième catégorie réunit les régions très peu densément peuplées, peu industrialisées, menacées de déprise humaine ; c’est le cas d’une partie de la péninsule ibérique, de la diagonale du vide en France et de régions du sud de l’Italie ;

– les régions dites ultrapériphériques, telles que les DOM français, les îles Canaries, les Açores ou Madère, constituent une troisième catégorie ; éloignées des cœurs économiques, peu dynamiques, ces zones risquent d’être marginalisées.

Il y a donc un gradient (variation d’intensité d’un phénomène sur un espace) de richesses des Etats d’ouest en est.

  • Les aides de l’Union européenne pourront contribuer à réduire ces écarts (traité de Lisbonne) mais, compte tenu de l’ampleur des investissements nécessaires, elles ne seront pas suffisantes. S’il ne fait pas de doute que certaines régions se développeront, il est à craindre que l’ensemble des territoires ne progresse pas aussi rapidement. Pour le moment presque 50% du budget est destiné à promouvoir une nouvelle cohésion territoriale.

 

E.) L’Europe et l’évolution de ses objectifs
1/ Question à l’échelle continentale

Les missions de l’Europe et le sens de la construction européenne ont profondément changé. Les grands problèmes qui se posaient encore   en 1957 sont réglés : les Européens sont réconciliés, l’Allemagne est devenue l’un des pays les plus démocratiques du monde, le communisme n’est plus un danger, l’Europe occidentale est reconstruite et l’Europe centrale continue sa restructuration économique. Mais l’UE élargie doit affronter d’autres problèmes, sur lesquels les sensibilités divergent.

Quels abandons de souveraineté pour les pays européens ?

Certains pays ont peur pour leur indépendance au cas où l’UE prendrait trop de pouvoir : c’est tout le problème du « souverainisme » (G.B, France) Le traité constitutionnel a été rejeté par référendum en France et aux Pays-Bas en 2005, avant son adoption en 2007 sous une forme modifiée après le sommet de Lisbonne.

Quelles frontières pour l’Europe communautaire ? L’Union européenne peut-elle encore s’élargir ?

Rien ne limite a priori l’extension de l’UE, pas même les frontières géographiques du continent européen : les DOM-TOM français, qui ne sont pas situés en Europe, en font partie depuis l’origine. Les pays de l’ancienne Yougoslavie qui n’appartiennent pas encore à l’Union et l’Albanie ont vocation à devenir membres à terme. Le cas de la Turquie soulève des débats très vifs : l’UE la considère comme un candidat potentiel à l’entrée depuis 1963, mais certains lui reprochent d’être insuffisamment démocratique et, à mots couverts, d’être un pays musulman : ils voudraient que l’Europe demeure un « club chrétien », formé de pays liés par des traditions culturelles communes, c’est un courant fort en France et dans les pays de l’Est. En revanche, il n’y a aucune perspective d’entrée dans l’UE pour la Russie, où la démocratie souffre de très graves carences, ni pour les pays du Maghreb.

Comment résoudre l’instabilité des budgets des États membres (exemple de la crise grecque) ?

Enfin, quel projet commun pour des peuples très différents ?

En particulier, certains Européens souhaitent plus de libéralisme, tandis que d’autres veulent une Europe plus sociale (exemple en France ou en Grèce). Question du BREXIT, montée des autonomismes (Flandre, Ecosse, catalogne), question de l’identité de l’Europe face à l’immigration et à l’Islam, les sujets de débat ne manquent pas pour prédire la fin du projet européen.

2/ Question à l’échelle globale et sa place dans la mondialisation

Le sujet le plus brûlant est celui des liens avec les Américains. L’évolution des relations entre l’U.E et les États-Unis est marquée par la fin de la Guerre Froide. L’Union européenne et les États-Unis demeurent alliés : la plupart des pays de l’UE sont membres de l’OTAN. Mais l’effacement du danger soviétique a fait disparaître le principal ciment de cette alliance. De plus, l’Europe unie, en s’élargissant et en s’enrichissant, en est venue à faire concurrence aux États-Unis sur le plan économique : les deux partenaires s’accusent mutuellement de protectionnisme. La France a ainsi affronté les EU sur la question de « l’exception culturelle » ou des produits agricoles (normes AOC, refus des OGM, etc). Ces derniers temps la presse a beaucoup parlé du futur traité atlantique, le TAFTA qui fait couler beaucoup d’encre.

Le problème des relations avec les États-Unis divise les Européens : certains pays comme la France souhaitent que l’UE fasse contrepoids à la superpuissance américaine ; d’autres comme la Grande-Bretagne et les pays de l’ancien bloc communiste souhaitent au contraire un rapprochement avec Washington. Pour les pays de l’est, les Américains sont leur meilleur rempart contre une éventuelle agression russe (le précédent de la Crimée a ravivé les craintes des Baltes et des Polonais). Pour la G.B, les E.U sont un allié naturel qu’on ne peut écarter.

CONCLUSION GENERALE

L’Union européenne demeure une association d’États indépendants, mais les directives européennes jouent un rôle de plus en plus important dans notre vie quotidienne. Le succès de la construction européenne est évident, mais le revers de la médaille est qu’elle doit désormais faire vivre ensemble des peuples qui ont des expériences historiques et des points de vue sur le monde très différents les uns des autres. Il faudra du temps pour les rapprocher mais il demeure important de rester optimiste malgré les mouvements populistes récents.

La difficulté reste la même depuis 1954 : l’Europe se construit avant tout autour d’un projet économique. Sur le plan géopolitique elle est un nain, faute de vision commune et de poids militaire. Et même sur le plan économique la situation fait aujourd’hui débat.

Bon courage à tous…

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