La Mémoire collective de Maurice Halbwachs
Toujours dans le cadre du thème de la préparation au concours de sciences Po 2017 voici une oeuvre dédiée à la mémoire.
Maurice Halbwachs (1877-1945) est mort en déportation sans pouvoir assurer lui-même l’édition de La Mémoire collective. Aujourd’hui, cinquante ans après sa parution posthume non conforme au vœu de l’auteur, Gérard Namer, professeur de sociologie à Paris-VII, propose la première édition critique, fidèle au manuscrit autographe, de ce texte désormais devenu un classique. Dépassant la simple nécessité érudite, cette réédition fait redécouvrir l’œuvre dernière du grand sociologue. Inversant la problématique qu’il avait développée en 1925 dans Les Cadres sociaux, Halbwachs centre son analyse sur la valeur et l’individu, dans un geste de défi « républicain » à la barbarie qui déchira son époque et à la « corruption » des institutions culturelles qu’entraîne aujourd’hui encore, en cette fin de siècle, la postmodernité. Le lecteur va, enfin, pouvoir lire le testament théorique de celui qui reste l’initiateur de la sociologie de la mémoire.
Définition:
La mémoire collective est l’ensemble de toutes les traditions, les coutumes, les fêtes, les vêtements, et les cultures d’un peuple.
Mais on peut voir la mémoire collective d’un autre point du vue: la mémoire collective peut aussi évoquer quelque chose de toujours important qui nous vient de ceux qui ont déjà vécu avant nous et qui ont déjà prouvé de nombreuses expériences de la vie quotidienne.
La mémoire collective se manifeste avec des œuvres culturelles: œuvres littéraires (poèmes), œuvres musicales (chansons), les traditions et les fêtes et surtout la narration orale (transmettre des histoires).
Un lieu, un objet, un personnage appartient à la mémoire collective, quand tout le monde le connait pour un certain fait ou pour une caractéristique particulière.
Elle favorise la communication parce que tout le monde peut parler de la mémoire collective, puisque toutes les personnes d’une nation doivent la connaitre.
Réflexion sur l’histoire et la morale de La chèvre de M. Seguin :
L’histoire veut nous faire comprendre qu’on ne gagne rien a vouloir vivre libre dans un monde aussi libre, parce qu’on ne peut pas vivre indépendants, mais on a besoin des autres, de se faire conseiller par ceux qui ont plus d’expérience et on ne peut pas faire tout ce qu’on veut et que donc on doit apprendre a avoir plus de confiance envers les personnes qui essaient seulement de nous mettre an garde.
Pourquoi d’après vous peut-elle faire partie de la mémoire collective?
L’histoire peut faire partie de la mémoire collective parce qu’elle a une morale importante qui peut être comprise facilement aussi par les enfants.
Transmission:
- Ecole: on peut transmettre cette histoire dans l’école grâce aux études qu’on fait sur les textes écrits.
- Famille: on peut transmettre l’histoire dans la famille grâce aux histoires qu’on raconte aux enfants avant qu’ ils s’endorment.