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Préparation aux épreuves de dissertation – Note de synthèse – Fiches histoire – Fiches culture générale – Thèmes IEP – Concours de la fonction publique

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Sur le thème des radicalités : Prévention de la radicalisation.

  • Focus Société
  • Thématique concours

En termes de radicalités, bons nombres d’actions et mesures très concrètes ont été prises pour prévenir ce phénomène de plus en plus important. La commission d’actes terroristes en France et en Europe et le basculement de plusieurs centaines de personnes dans l’engagement radical ont soudainement fait émerger une nécessité nouvelle en matière de prévention et de répression de la radicalisation. Ces actions privilégient les acteurs locaux comme les maires des communes et les préfets ou sous-préfets…

Au-delà de l’action répressive, la France, en particulier, s’organise pour apporter une réponse à ce phénomène, voici comment….

Depuis le 23 avril 2014, le gouvernement français a arrêté un plan de lutte contre la radicalisation violente et les filières terroristes. Ce plan qui vise à démanteler ces filières, à empêcher les déplacements générateurs de menaces, à coopérer plus efficacement au plan international contient un volet préventif et d’accompagnement des familles.

Le Secrétaire général du comité interministériel de la prévention de la délinquance (SGCIPD) est en charge du volet préventif du plan. On insiste sur le rôle majeur des préfets dans le dispositif de prévention, compte tenu du caractère interministériel et partenarial des approches à privilégier.

  1. Du signalement à la prise en compte individualisée
1) Recueil des signalements

Pour rompre la solitude des familles face à des circonstances très difficiles, un numéro d’assistance et d’orientation, opérationnel du lundi au vendredi de 9h00 à 18h00, a été créé. Il dessert une plate-forme téléphonique du centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR), qui ouverte au sein de l’Unité de coordination de lutte anti-terroriste (UCLAT), et qui assure une écoute, une information et une orientation pour les familles et les proches qui s’inquiètent du basculement d’une personne dans la radicalisation.

Il permet aux familles ou aux proches de :

  • signaler une situation inquiétante qui paraît menacer un membre de la famille ou un proche ;
  • d’obtenir des renseignements sur la conduite à tenir ;
  • d’être écouté(e), conseillé(e) dans les démarches.

Un site internet dédié est consultable à l’adresse www.stop-djihadisme.gouv.fr.

2) Exploitation nationale des signalements

En fonction des éléments recueillis et de l’analyse réalisée par l’UCLAT, les signalements sont transmis à la préfecture du lieu de résidence du signalé, à charge pour la dite préfecture de prendre en charge le cas et de recontacter l’appelant, sauf s’il ne le souhaite pas ou s’il n’a pas communiqué d’adresse; tous sont par ailleurs transmis à l’état-major de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) et du Service Central du Renseignement Territorial (SCRT).

Les préfets sont ainsi destinataires des informations recueillies et filtrées par le CNAPR afin d’organiser une prise en charge partenariale des familles et des personnes signalées.

3) Exploitation locale des signalements

Le rôle des préfets est tout à fait essentiel dans la mise en œuvre du dispositif de prévention. Dès réception des informations transmises par la plateforme téléphonique, il leur appartient d’en aviser le procureur de la République. Celui-ci pourra éventuellement, lorsqu’il s’agit de mineurs, envisager la mise en œuvre des mesures d’assistance éducative. Avec son accord, le préfet informe le maire de la commune concernée.

4) Action de la cellule de suivi départementale

Rendue obligatoire depuis février 2015, une cellule de suivi organisée dans chaque département doit permettre de traiter, au titre de la prévention, les situations signalées au CNAPR, qu’elles soient directement transmises à la plate-forme téléphonique ou qu’elles soient remontées dans le cadre des états-majors de sécurité des préfectures.

Le préfet, en lien avec le procureur de la République, active la cellule de suivi dédiée en mobilisant les services de l’Etat et les opérateurs concernés (police, gendarmerie, éducation nationale, protection judiciaire de la jeunesse, Pôle emploi, mission locale notamment), les collectivités territoriales (outre le maire concerné, les services sociaux du conseil départemental), et le réseau associatif, en particulier les associations intervenant en direction des familles et des jeunes.

La cellule de suivi pourra décider de mettre en place une prise en charge spécifique, d’une part, de la famille ou des proches via les réseaux d’écoute, d’appui et d’accompagnement portés par des associations ou les CAF et, d’autre part, de la personne signalée, par :

  • un parcours individualisé de réinsertion avec la désignation d’un référent ;
  • les chantiers et séjours éducatifs ;
  • les parcours citoyens ;
  • les parcours d’insertion sociale et professionnelle (inscription dans un établissement public d’insertion de la Défense) ;
  • tout dispositif visant à réinsérer l’intéressé(e).

La collaboration active des maires, investis de pouvoirs de police et de compétences dans le champ de l’action sociale et médico-sociale et disposant d’une bonne connaissance de leur commune et de ses habitants, aux réunions de la cellule de suivi est de nature à apporter une complémentarité d’action et une cohérence d’ensemble dans le cadre de la prise en compte des situations individuelles sensibles.

Il est par ailleurs prévu que l’action des cellules de suivi soit articulée avec celle des conseils locaux ou intercommunaux de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD et CISPD), comme avec celle des équipes de réussite éducative.

2.  Action des conseils intercommunaux de sécurité et de prévention de la délinquance
1) La réalisation de formations

Des sessions de formations sur la prévention de la radicalisation sont organisées par la CISPD. En 2014, 10 sessions de 2 jours ont été dispensées à 450 personnes, principalement issues des préfectures et des services de police mais aussi de l’éducation nationale, de la justice, des associations et des collectivités territoriales. De nouvelles formations ont été organisées en 2015.

2) L’élaboration de fiches repères d’expérimentation

Le CISPD réalise, dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire, des fiches repères d’expérimentation. Ces fiches apportent une première approche de réponse. Elles ont vocation à être enrichies au gré des remontées d’information et des expériences.

Cinq situations ont été identifiées comme nécessitant une action préventive et un accompagnement des familles :

  • Prise en charge psychologique d’un(e) mineur(e) devant faire l’objet d’un signalement ;
  • Prise en charge d’un(e) mineur(e) en situation d’échec et de fragilité devant faire l’objet d’un signalement ;
  • Prise en charge d’un(e) majeur(e) inscrit(e) dans un parcours délinquant ;
  • Soutien des familles dont l’enfant est parti en zone de conflit ;
  • Action de prévention en direction d’une famille en partance pour une zone de conflit.

Ces démarches peuvent se heurter malheureusement à l’adhésion nécessaire des individus concernés. L’importance de leur endoctrinement sera dès lors un facteur conséquent de réussite ou d’échec de la démarche.

3) L’orientation du fonds interministériel de la prévention de la délinquance (FIPD) pour la prévention de la radicalisation.

Le FIPD a en outre été abondé à hauteur de 60 M€ sur trois ans, dont 20M€ dès 2015 dans le cadre du renforcement du dispositif de lutte contre le terrorisme orientés vers :

  • la prévention de la radicalisation ;
  • le renforcement de la vidéo protection des sites sensibles ;
  • la sécurisation (hors vidéo) des sites sensibles ;
  • l’équipement des polices municipales (gilets pare-balles et terminaux portatifs de radiocommunication).

Au-delà du financement d’actions locales visant à prévenir la radicalisation, il a été mis en place, au niveau national, une équipe mobile d’intervention. Celle-ci a vocation à intervenir au profit des préfectures pour traiter les signalements les plus préoccupants.

3.  La lutte contre la propagande radicale djihadiste

En concertation étroite avec les différents ministères concernés, le Service d’information du Gouvernement coordonne, depuis janvier 2015, la réponse de l’Etat à la propagande djihadiste.

1) Les enjeux du contre-discours

L’enjeu crucial : la « domination informationnelle ». Les djihadistes ont fait de la propagande l’une de leurs principales armes. Dans son Appel à la résistance islamique mondiale, leur théoricien Al Souri affirme que « le combat dans la voie de Dieu est un ensemble réunissant sur un même plan : opérations politiques, militaires et médiatiques. »

Dominer le champ médiatique, fasciner ou terroriser les esprits est pour eux un but de guerre à part entière. Les démocraties doivent donc aussi elles aussi, à leur manière et dans le respect de leurs principes, engager la lutte sur ce plan.

2) Le champ de bataille : l’espace numérique

A notre époque où les réseaux sociaux sont devenus des sources majeures d’influence, cette lutte a pour champ de bataille l’espace virtuel du web. Ce terrain n’est pas un théâtre d’opérations facile pour la puissance publique. Il est marqué par l’explosion des flux d’information et l’égalisation des prises de parole. Sur Facebook ou sur Twitter, chaque expression se vaut : une déclaration gouvernementale peut y entrer en conflit avec une thèse complotiste, sans qu’aucun médiateur ne vienne distinguer le bon grain de l’ivraie.

3) L’adversaire : un expert en la matière

L’exercice est d’autant plus difficile que nos ennemis maîtrisent désormais parfaitement les codes de la communication sur le web. La propagande de daesh des années 2010 n’a rien à voir avec celle d’al qaïda des années 90. Par leur connaissance de l’espace numérique, ils ont pu créer sur la toile le sentiment d’une communauté virtuelle par-delà les frontières. On estime ainsi que 1 000 propagandistes djihadistes sont actifs sur les différents réseaux sociaux en langue française et que 200 000 personnes sont des consommateurs réguliers de leur propagande en France.

C’est en toute connaissance de ces enjeux que le Gouvernement français s’est engagé dans la construction du contre-discours porté, sur Internet, par l’écosystème « STOP DJIHADISME ».

4) Les moyens déployés et les résultats atteints
  • Janvier 2015 : lancement du site fondateur

Le premier jalon de l’écosystème « STOP DJIHADISME » a été posé, en janvier 2015, lors de la mise en ligne du site fondateur du même nom. Refondue en novembre 2016, cette plateforme rassemble des contenus d’ordres divers : articles, infographies, clip, témoignages… Elle vise, d’abord, à informer l’ensemble de nos compatriotes sur la menace terroriste et la réponse de l’Etat. Elle veut également être une ressource pour les parents qui s’inquiètent de la dérive de leur enfant : des ressorts de la propagande djihadiste y sont décryptés, les signes visibles de radicalisation y sont présentés… et un numéro vert est indiqué pour alerter les autorités publiques.

  • Décembre 2015 : la création des comptes Twitter et Facebook

Pour augmenter la visibilité de notre contre-discours et diffuser quotidiennement des nouveaux contenus sur le web, le Gouvernement a créé, en décembre 2015, des comptes « STOP DJIHADISME » sur Twitter et Facebook. Depuis 13 mois, ces 2 comptes émettent, chaque jour, une demi-douzaine de messages : articles, vidéos, infographies…. Chacun de ces supports est validé par un comité interministériel et étayé sur les analyses d’un comité d’experts. Ponctuellement, des séances de « Questions / Réponses » sont organisées sur Twitter pour échanger directement avec les internautes sur un aspect particulier (politique étrangère de la France, communication de l’Etat, suivi des jeunes et des familles…).

5) Les 3 objectifs visés

Le contre-discours diffusé sur Facebook et Twitter par les comptes « STOP DJIHADISME » vise 3 objectifs.

  • Le premier est d’informer l’opinion sur les moyens déployés par l’Etat contre le terrorisme (victoires militaires sur les théâtres d’opérations, mesures prises en France pour la sécurité, dispositif d’écoute pour les signalements suspects…).
  • Le deuxième est de déconstruire, point par point, les mensonges de la propagande djihadiste, afin de renforcer l’esprit critique de certains publics (informations factuelles sur daech, parole donnée à des victimes, des repentis et des réfugiés….).
  • Le troisième est de rappeler nos valeurs républicaines, afin de mobiliser l’ensemble de la communauté nationale (promotion des droits de l’Homme, mobilisation des autorités musulmanes, engagement dans la Réserve citoyenne…).

Complémentaires, ces 3 lignes éditoriales ne visent pas les mêmes franges de l’opinion. La première s’adresse clairement au grand public et aux proches tandis que la deuxième cherche plutôt à atteindre les jeunes fascinés ou tentés par le djihad.

Il est très difficile, pour un émetteur officiel, de toucher et convaincre ces derniers. Mais, dans l’attente que des acteurs privés puissent le faire mieux, il est du devoir de l’Etat de s’y efforcer.

Premier bilan

Depuis leur création en décembre 2015, les comptes « STOP DJIHADISME » ont diffusé chacun plus de 3 500 messages. Si leur public reste limité (plus de 12 000 « followers » pour Twitter / près de 19 000 « fans » pour Facebook), il est en progression (le compte Twitter gagne désormais près de 500 followers par mois) et leur visibilité est nettement supérieure. Le nombre d’impressions mensuelles cumulées est estimé à plus de 1,5 million sur Twitter et à plus de 400 000 sur Facebook.

Ces bons chiffres recoupent ceux du site « STOP DJIHADISME » : depuis sa mise en ligne, il a été visité plus d’1,2 million de fois et le temps moyen de ces visites se situe autour de 4 minutes. Quant au nombre de signalements suspects, il a été doublé pour atteindre près de 12 000 fin 2016. Dans 70 % des cas, ces signalements se sont révélés fondés.

L’analyse des messages les plus commentés et relayés sur les réseaux sociaux permet d’identifier quels sont ceux qui suscitent le plus d’adhésion au sein de notre audience. A ce jour, les contenus les plus partagés sont clairement ceux qui appellent les internautes à la vigilance en les invitant à signaler aux autorités les comptes (Pharos) ou les individus (Numéro vert) suspects. Viennent ensuite les messages soulignant les défaites et les exactions de daech et les messages rappelant à la loi. Ce bilan confirme, en creux, que ce contre-discours porte d’abord auprès des personnes éloignées de toute tentation radicale.

4.  Les perspectives des actions locales de préventions du contre-discours : la mobilisation générale
La mobilisation de la société civile

La mobilisation de tous les acteurs publics – Etat, collectivités locales, services sociaux… – est en marche dans tous nos territoires. Mais, pour garantir l’impact de ces actions et du contre-discours, il faudra surtout trouver des appuis et des relais au sein même de la société civile. Une large partie des personnes visées par la propagande djihadiste est imperméable à toute parole officielle. Imbibées de thèses complotistes, elles n’accordent plus aucun crédit aux messages portés par les collectivités publiques. La seule manière de les toucher est de s’appuyer sur des médiateurs issus de leur entourage.

A cet égard, la mobilisation des autorités musulmanes locales est bien sûr essentielle. De nombreuses mesures sont prises en son sein pour prévenir la radicalisation. Les réunions de l’Instance de dialogue avec l’Islam de France montrent que des imams et des aumôniers, toujours plus nombreux, sont prêts et formés pour répondre aux arguments des théologiens auto-proclamés de daech. Un contre-discours d’ordre religieux est, ainsi, le complément nécessaire du contre-discours de l’Etat.

La mobilisation de chacun

Pour autant, il serait faux de croire que le défi lancé par la propagande djihadiste ne concerne que les pouvoirs publics et la communauté musulmane. Au-delà même des grands acteurs du web (Google, Facebook, Twitter…), il s’adresse à toutes les femmes et les hommes de bonne volonté. Nombreux sont déjà ceux qui combattent, dans leur association ou par leur publication, la haine et les discours mortifères. Leurs rangs doivent encore s’élargir !

En réalité, la prévention, la détection, le contre-discours sont l’affaire de chaque Français en qualité de citoyen. La radicalisation djihadiste est l’une des expressions les plus violentes et les plus tragiques des maux qui traversent et fracturent nos sociétés. Le modèle consumériste génère, de manière simultanée, jouissances matérielles et insatisfaction existentielle. La civilisation du supermarché crée, comme l’écrit le philosophe Gilles LIPOVETSKY, « le sentiment de toujours manquer la part essentielle de la vie ».

 

 

Source : association des maires de France, siglab.fr

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